Pourquoi consulter ?

Je propose des thérapies individuelles, de couple, familiales ainsi que des accompagnements de groupe et des supervisions au sein de mon cabinet à Dax, dans le département des Landes. Je propose aussi des téléconsultations.

Quand prendre rendez-vous avec un psychologue ?

Décrocher son téléphone et composer le numéro d’un psychologue, envoyer un sms pour demander un premier rendez-vous, appuyer sur « envoyer » à un mail de demande de consultation est loin d’être une démarche aisée. Cette démarche prend le plus souvent du temps, de la réflexion, est parsemée d’hésitations, de « retours en arrière ». La demande de soutien, d’accompagnement psychologique et de thérapie vient souvent lorsque « tout a été essayé », que les ressources habituelles ne suffisent plus, que l’on n’arrive plus à faire face à des difficultés anciennes ou nouvelles, que l’on n’arrive pas à trouver de solution, que « le passé nous rattrape », lorsque l’on fait face à un événement douloureux, une rupture, que l’on a besoin d’être accompagné pour y voir plus clair… Il n’y a pas de « bon » motif de consultation, ni de « bon » moment. L’important est de consulter lorsque l’on ressent que c’est le moment pour nous, que l’on en a besoin.

Pourquoi consulter un psychologue ?

 

Pour les enfants / les familles : crises de colères, mal-être, comportements d’opposition, troubles du sommeil, inquiétudes ou peurs qui paraissent irraisonnées, angoisses, anxiété, grande sensibilité au stress, mises en danger, changements dans les habitudes alimentaires, enfants qui « ne tiennent pas en place » ou au contraire, qui s’effacent et que l’on a tendance à « oublier », difficultés à s’adapter à de nouvelles choses, perte de motivation, d’envie, tristesse… Autant de symptômes qui inquiètent l’entourage (famille, école, mode de garde, …) qui se sent démuni malgré tous les efforts déployés pour trouver des solutions.

L’arrivée d’un bébé ou d’un enfant au sein de la famille est aussi un moment de doutes et de questionnements, de bouleversement des places, des rôles de chacun… Un moment de grande fatigue, de vulnérabilité, de remises en question, de difficultés parfois au sein du couple, à être parent(s) d’un petit être qu’il faut apprendre à connaître. Un tout-petit qui peut pleurer énormément, jours et nuits parfois même, un tout-petit dont il est difficile d’identifier les besoins et d’y répondre.

Pour les adolescents, on peut observer la montée des comportements agressifs, d’opposition, de difficultés à communiquer mais aussi de l’absentéisme, du décrochage, des notes qui chutent, des prises de risques, de toxiques, l’apparition de troubles du comportement alimentaire…

L’adulte qui souhaite consulter seul peut arriver en thérapie pour de multiples raisons. Voici celles qui nous semblent représentatives des motifs de consultation que nous rencontrons le plus fréquemment : faire le point sur sa vie, ne plus savoir ce qu’on veut vraiment, qui on est, cesser de souffrir psychiquement, stopper les crises d’angoisse, les attaques de panique, régler des problèmes affectifs et relationnels, modifier des comportements qui nuisent au bien-être, faire face à des pensées ruminantes, parler de secrets qui deviennent trop lourds à porter. Mais aussi trouver des réponses quand l’esprit s’embrouille, quant tout semble flou, quand on a la sensation de ne plus faire face, et parfois d’être sans espoir. Cela peut être au sein de sa famille, au travail, dans son couple…

Et les couples ? Difficultés de communication, sensation que l’autre s’éloigne, de ne plus être en phase, sur la même longueur d’onde. Cela peut aussi être des disputes fréquentes, sans résolution du conflit, des difficultés sur le plan de l’intimité, un manque ou une perte de confiance, d’avoir la sensation de ne plus pouvoir compter sur l’autre…

Lorsqu’un individu souffre, cela affecte en général chacun des membres de sa famille, dans une intensité et une conscience différente. Être le parent, le frère, la sœur, le grand-parent, l’oncle, la tante, un proche, un collègue, un partenaire de sport… d’une personne qui souffre, est souvent compliqué. L’objet de la thérapie familiale systémique, c’est justement permettre un espace de pensée, de partage, d’élaboration de cette souffrance, de ces comportements et surtout une réflexion active sur comment faire autrement.

Bien entendu, les listes de symptômes évoqués ci-dessus ne sont pas exhaustives. J’ai aussi envie d’évoquer les situations où du jour au lendemain la vie bascule : lorsque les familles sont confrontées à des événements parfois soudains, déstabilisants, déclencheurs, activateurs, révélateurs, d’un état de crise. Par exemple, l’annonce d’une grossesse, une naissance mais aussi les séparations, divorces, l’approche de la retraite, le départ des enfants, les accidents, l’annonce d’une maladie, le diagnostic ou la situation de handicap, les décès, les révélations de secrets… Tous ces événements qui viennent perturber l’équilibre d’un système jusque-là stable.